Un témoignage de première main sur l'état des lieux à la Maison des Sciences de l'homme pà la suite de son occupation :
Etat des lieux après occupation - Actualités de la recherche en histoire visuelle
A sa lecture, on s'interroge : on comprend la volonté de l'auteur de dédouaner les occupants (si la police était intervenue plus tôt…), mais dans l'hypothèse où il aurait raison (une intervention plus rapide de la police…) comment interpréter cette appropriation "sauvage" des lieux avec graffitis, accumulation d'ordures et récupération de ressources locales? Quel ethnologue nous dira comment interpréter cette manière d'occuper l'espace qui s'inscrit manifestement dans la lignée des squats, voire, peut-êttre, dans celle de ces artistes qui graffitaient les lieux dans lesquels ils vivaient (petit hôtel du coté de la rue Saint-André des Arts où habitaient les poètes de la beat generation…).
Un blog créé à l'occasion de la sortie de mon livre Banlieues, insurrection ou ras le bol, pour discuter de ce qui s'est passé en novembre 2005
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire